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Un nouveau mode de vie, au coeur de Fléron
Afin de répondre aux évolutions démographiques attendues (accroissement du nombre d’habitants/diminution de la taille moyenne des ménages – estimations établies sur base des chiffres fournis par le Bureau fédéral du plan), il faudrait, d’ici 2040, créer 1.300 nouveaux logements sur le territoire de Fléron. L’éco-quartier de Wérister, qui sera aménagé sur l’ancien site des charbonnages, entend apporter une partie de la réponse à ce défi avec une réflexion orientée vers le bien-être et le bien vivre.
Mobilité, densité et équipements
On le sait, la mobilité est l’un des points essentiels lors de la construction d’un nouveau quartier, et encore plus lorsque l’on parle d’un écoquartier. C’est pourquoi le projet de Wérister a voulu répondre aux problématiques de la mobilité, notamment via la mobilité douce.
Le futur écoquartier de Wérister s’insère dans un territoire bien desservi en transports en commun. Cette situation privilégiée permettra de favoriser les modes de déplacements doux. Par sa situation proche de la N3, l’écoquartier profitera d’un service de bus adéquat, avec 3 arrêts présents dans un périmètre de 400 mètres du site. Différentes lignes desservent ainsi Liège, le Pays de Herve et la Vallée de la Vesdre
L’habitat mitoyen
Un habitat dense implique le recours à la mitoyenneté entre bâtiments. Celle-ci est un facteur important d’économies d’énergie.
Valorisation de l’énergie solaire
Afin de réduire la consommation d’énergie nécessaire pour le chauffage et l’éclairage des habitations, un éco-quartier doit tenir compte de l’ensoleillement de chaque bâtiment afin de profiter de l’énergie offerte par le soleil. Le site est à ce titre particulièrement bien localisé car situé sur un versant exposé au sud-ouest. Plus de 60% des habitations prévues respectent le critère d’ensoleillement énoncé par le « Référentiel quartiers durables» en Wallonie.
Isolation des bâtiments
Afin de réduire la consommation globale de l’éco-quartier en énergie pour le chauffage, il est important de bien isoler les bâtiments. Suivant la législation wallonne en la matière, les bâtiments qui seront construits, suivront la norme PEB en vigueur, voire des normes plus sévères.
Energies renouvelables
Les énergies renouvelables sont des enjeux importants pour la bonne gestion de l’énergie. Il a été décidé d’installer des panneaux photovoltaïques sur le site. Ceux-ci seront installés sur le dispositif de confinement des terres polluées situé le long de la rue Churchill.
Les milieux naturels de l’écoquartier
La valeur biologique globale du site du futur écoquartier est actuellement insignifiante car le site est essentiellement une friche d’anciens charbonnages.
Il est toutefois important de souligner que le site s’insère dans un contexte végétalisé diversifié avec jardins, et coulée verte en bordure du RAVeL, bois de Beyne, etc.
D’une manière générale, les options d’affectation et d’aménagement du sol permettront d’accroître de manière substantielle la qualité et la diversité biologique du site. Le projet d’assainissement prévoit la création d’une colline de confinement qui sera végétalisée.
Liaisons du quartier
Un des objectifs poursuivis par l’aménagement du site est de privilégier les modes doux. Les itinéraires pour ces modes doux formeront un réseau bénéficiant de raccourcis. Les croisements entre chemins et voiries carrossables seront traités sous la forme d’espace partagé.
De petits espaces publics ou de rencontre feront partie intégrante de ce réseau de modes doux. L’utilisation de revêtements les plus perméables favorisera l’infiltration.
Réseau des voiries pour véhicules
En voiture, l’accès principal à l’éco-quartier se fera via la rue Churchill. La structure des voiries carrossables du site sera composée de 2 niveaux de voiries : les axes structurants greffés à la rue Winston Churchill et au carrefour formé avec la rue de Romsée, d’une part, et les dessertes locales d’autre part.
La participation citoyenne
La participation citoyenne est une dimension intrinsèque de la définition d’éco-quartier. Elle est au cœur du développement durable. C’est pourquoi la SA Compagnie Financière de Neufcour a mené un important travail participatif avec des acteurs locaux (monde culturel, accueil social, commerçants, etc.), des riverains et des spécialistes afin d’imaginer le futur éco-quartier des Haïsses-Piedroux.
Composés d’un panel de 40 acteurs locaux (habitants/riverains du site, acteurs socio-économiques et culturels, représentants de commissions locales, élus, représentants des comités de quartiers et des établissements scolaires chênéens, institutionnels, experts et usagers), recrutés sur base volontaire parmi une liste de candidats de plus d’une centaine de personnes établie avec l’aide des acteurs locaux (acteurs socio-économiques et culturels, comités de quartier, associations locales, commerçants, etc.), les Ateliers urbains, processus de participation citoyenne, animés par Tr@me Scrl, ont enrichi de dimensions locales le diagnostic établi par les spécialistes.
L’habitat groupé
Dans le but de poursuivre l’objectif recherché, à savoir créer un endroit où le bien être et le bien vivre ensemble trouveront une nouvelle place, l’écoquartier accueillera 7 habitats groupés. Participation, entraide, solidarité prendront ici tout leur sens.
L’habitat groupé est en effet un habitat participatif où plusieurs ménages gèrent de façon concertée et collective des espaces et/ou des biens collectifs en plus des espaces et biens privatifs. Un projet commun (par exemple un potager, jardin partagé) et des valeurs communes y est développé afin de nourrir cette culture du partage.
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